Au sommaire de ma thèse

INTRODUCTION

PREMIERE PARTIE : UNE ESTHETIQUE PAR LA NEGATIVE

A/Une « Esthétique » fragmentaire

  1. De quels « textes » parle-t-on ? Bibliographie historique pour une esthétique picturale

Au gré des situations

L’impossible rencontre

  1. De quelle « esthétique » parle-t-on ? Etude lexicologique

L’esthétique et son double

Glossaire sartrien de l’esthétique

« Une » esthétique plurielle

Les « Autres » de l’esthétique

B/ Critique de la peinture officielle

  1. La nausée du musée

Les visites réelles

Les visites virtuelles

Le musée de Bouville

L’exposition Gauguin

Le Museum of Modern Art de New York

2.      Portraits sans visages

Fausses présences

Le peintre officiel

Etres et existants

C/ La peinture est un  irréel : l’héritage husserlien

L’image est-elle un tableau ?

Le tableau est-il une image comme les autres ?

Bild et Phantasia : une structure analogique

Naissance de l’analogon sartrien

Le tableau, un objet irréel sur fond de réel

De la neutralisation à la négation

Application  de la théorie de l’analogon à l’art figuratif et abstrait

 

       DEUXIEME PARTIE : VERS LE LEVIER ESTHETIQUE DE 1947

A/ Peinture et désengagement

Un anti-monde au cœur du monde

La peinture, un rêve éveillé ?

De la pauvreté essentielle …

… à l’aliénation existentielle

Gomez ou l’anti-peintre

Picasso et les Surréalistes

B/ Ambivalence hylétique de l’analogon : un objet à double face

Littérature versus Peinture

« Ut pictura poesis »

Un retournement de situation

L’analogon existe-t-il ?

C/ Le nouveau sens du « sens » pictural

Naissance d’un nouveau sens

Une compression de signifié dans le signifiant

Auto-désignation de l’analogon pictural

Un analogon hylémorphique

Peindre en sculptant

D/ L’intuition picturale

Comment décrire sans dire ?

Une communication sans langage

Le secret de la toile

Le poids des mots : l’écriture picturale sartrienne

 

TROISIEME PARTIE : UNE ESTHETIQUE DE LA PRESENCE

A/ Le poids des corps

Le corps-pour-soi

La chair-pour-autrui 

Le corps-pour-soi-comme-vu-par-autrui

Les corps de la modernité

B/ Profondeur  versus  perspective

Le péché florentin 

Critique de l’illusionnisme pictural

La profondeur, un don de double vue

Vers une totalisation des sens

Comme par magie

C/ « On tourne ! » : le regard cinématographique dans l’esthétique picturale sartrienne

Le cinéma de Sartre

De la temporalité en peinture

Droit de regard

Le « donnant-donnant » de l’esthétique picturale

De l’interprétation en peinture

 

QUATRIEME PARTIE : UNE ESTHETIQUE DE LA TOTALISATION

A/ Vers une totalisation du beau et du laid

Laideur(s) de Sartre 

Laideur de la beauté et beauté de la laideur

Le Beau comme unification

Ambivalence de l’émotion esthétique picturale

B/ La peinture comme aventure « totale » de soi

Le ré-engagement du peintre en peinture

La totalisation de l’Autre ou l’Universel singulier

L’enfance de l’art ou la totalisation de soi

Vers une totalisation de l’en-soi-pour-soi ?

 

CONCLUSION :

Le « qui perd gagne » appliqué à l’esthétique picturale de Sartre

  

 (336 pages sans les annexes)

 Sophie Astier-Vezon

© Tous droits réservés

 

 

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