Des chutes en cascades
« Nous connaissons la musique, à présent : tout commence par la fausse innocence d’une intuition ; donné par des formes et des couleurs perçues mais négligées, l’imaginaire se glisse en nous sous forme de lumière et profite de l’éblouissement pour faire passer des antennes et des pattes assez louches ; nous avalons tout – et la bête clandestine suscite dans les ténèbres un carrousel d’images : chute, collision ou galopade ou les trois » (Saint Marc et son double)